J'aime beaucoup le tissu vichy et rouge en particulier. Certaines marques de fromage enveloppent leur camembert de ces petits carreaux en intissé ; comme ils ne touchent pas directement le fromage ils sont propres et sans odeur. Plutôt que de les jeter aussitôt la boîte ouverte je les garde, les découpe en cercle avec un bol pour gabarit et j'en décore mes pots de miel ou de confiture. Ils sont ainsi plus jolis et plus faciles à repérer dans mon placard ou au réfrigérateur.

Les lendemains de fête ne sont pas toujours drôles, surtout lorsqu'on découvre sur sa jolie nappe de Noël une belle tâche de stylo à encre bleue. Pour enlever cette tâche j'ai fait tremper toute la nuit la partie tâchée dans du lait tiède. Le lendemain, la tâche était à peine  visible. J'ai frotté le reste de  tâche avec du savon de Marseille et j'ai lavé ma nappe presque à froid. La tâche a disparu à mon grand soulagement car, bien sûr, elle était placée sur la partie la plus claire.

Je connais le bicarbonate de soude depuis toujours. Mes parents m'en donnaient pour soigner les brûlures d'estomacs. Je l'utilise dans la cuisine pour faire mon pain d'épices ou dans l'eau de cuisson de mes légumes verts. Je m'en sers aussi dans la salle de bain comme peeling et de temps en temps je me lave les dents avec. Mais je n'imaginais pas avant d'avoir lu cette fiche (dans la collection PETIT GUIDE chez AEDIS) qu'il pouvait être utilisé pour assainir, adoucir, désodoriser ou même jardiner. Cette petite fiche est une mine d'information. On peut nettoyer les plaques de cuisson (saupoudrer). Dans un coin du réfrigérateur placer une coupelle ou un petit récipient rempli de bicarbonate (environ 100 g)  Les mauvaises odeurs vont disparaître instantanément.
On peut l'utiliser pour laver le rotin  en mélangeant 2 à 4 cuillerées à soupe de bicarbonate pour un litre d'eau tiède. Il faut remuer pour bien diluer le bicarbonate et à l'aide d'une éponge, laver ses paniers avec cette solution. Laisser sécher à l'air libre, mais pas en plein soleil.

Présenter un dessert, une entrée ou toute autre préparation dans un cercle, donne une très jolie présentation. Cependant les cercles coûtent chers et on ne peut pas avoir toutes les tailles. Je m'en suis fait un à partir d'une boîte de conserve (ici petite boite d'ananas de 4 tranches) en évidant les deux bouts.

J'ai la chance de consommer des oeufs dont les poules sont élevées en plein air et qui ne mangent que de la verdure et du grain. J'en achète rarement dans un supermarché et c'est mon fromager sur le marché qui a attiré mon attention sur le choix des oeufs. Un code est inscrit sur la coquille qui permet de bien les choisir. Sur l'emballage aussi figure la mention du mode d'élevage.
Le premier chiffre imprimé sur l'oeuf avant les lettres (FR : pays d'origine = France) indique le mode d'élevage. Il y a 4 chiffres : de 0 à 3. Le reste du code permet d'identifier le producteur et le bâtiment de ponte.

Le mode d'élevage :

Code 3 : oeufs de poules pondeuses élevées en cage.
Chaque poule a 550 cm carrés. A partir de 2012 les cages seront équipées de perchoirs et de nids. La surface sera portée à 750 cm carrés.
Code 2 : oeufs de poules pondeuses élevées au sol.
Elevage en bâtiment fermé dont un tiers du sol est couvert de litière 7 poules maximum par mètre carré. Pas d'accès au plein air.
Code 1 : oeufs de poules pondeuses élevées en plein air.
Elevage en bâtiment avec 7 poules maximum par mètre carré mais ouvert sur un parcours herbeux de 4 mètres carrés par poule au minimum.
Code 0 : oeufs de poules pondeuses élevées en mode biologique (alimentation biologique 90% minimum).
Pas plus de 6 poules par mètre carré et un parcours herbeux de 4 mètres carrés par poule au minimum.

Le label rouge : alimentation des poules 100 % végétale avec 60 % minimum de céréales et accès à un parcours herbeux de 5 mètres carrés par poule.

Les oeufs vendus en vrac sont souvent issus de poules élevées en batterie (code 3) et c'est trompeur, il faut donc vérifier le code sur l'oeuf. A retenir aussi que les oeufs utilisés dans la fabrication de produits alimentaires proviennent le plus souvent de poules élevées en cage (sauf mention contraire sur l'emballage). Je préfère acheter les pâtes sans oeufs. Je n'achète pas de plats cuisinés, ni de biscuits sinon bio.

Mon choix se porte naturellement vers le code 0 ou limite à 1 et avec le label rouge.

Pour avoir de la menthe à portée de la main, j'ai acheté un gros pot en plastique (c'est moins lourd) cela fait bientôt 3 ans. Je ne m'en occupe pas en dehors de l'arrosage et j'ai ainsi, une grande partie de l'année, de la menthe pour faire des nems, du taboulé, le thé à la menthe et la décoration de mes desserts.

Lorsque je suis en panne de pépites de chocolat comme aujourd'hui, je mets une demi tablette de chocolat dans un petit sac hermétique de congélation et je casse le chocolat avec un marteau sur le carrelage en tapant avec un marteau. C'est rapide, économique  moins joli que les pépites du commerce mais ça dépanne.

Ce n'est pas toujours évident de trouver des germes de soja frais, de plus c'est un produit qui ne conserve pas très longtemps. C'est pourtant très facile de le faire germer chez soi. Les graines se trouvent généralement dans les magasins bio ou dans les magasins de produits exotiques. Pour démarrer la germination je laisse tremper la graine toute la nuit dans l'eau.

Le lendemain matin je vide l'eau et je place les graines dans un germoir (magasin bio), je les arrose tous les jours et les range dans un endroit très sombre à température ambiante (plutôt chaude). Quand les graines sont prêtes à être consommées, je les nettoie (j'enleve la racine et l'enveloppe verte). Je les consomme rapidement pour ne pas les laisser traîner au réfrigérateur.

Combien de fois m'est-il arrivé de retrouver caché derrière un paquet de yaourts des aliments où de ne plus me souvenir du contenu d'une boite Tupperware. Pour ne plus avoir cette surprise désagréable au moment de nettoyer mon réfrigérateur, j'ai affiché sur la porte du "frigo" ma liste de courses hebdomadaire, et je raye au fur et à mesure les aliments consommés. De plus l'ayant sous les yeux, je peux plus facilement faire mon menu ; je sais exactement ce qu'il me reste à consommer. Le crayon est fixé par de la patafix pour l'avoir toujours sous la main.

J'achète deux qualités de beurre. Je prends du beurre à tartiner pour le matin (vitamines A) et une plaque plus classique pour ma pâtisserie. Il existe une marque qui emballe son beurre dans du papier indéchirable ; il est aussi lavable et une fois ma plaquette abritée sous son beurrier je lave ce papier. Je m'en sers ensuite pour peser le beurre sur ma balance ou pour beurrer un plat à gratin, des moules ou une plaque à pâtisserie. Ce papier me permet de saisir la plaque ou le reste de la plaque sans me salir les mains ni utiliser du papier torchon. Je le relave ensuite avec le reste de la vaisselle.